Voici la première phrase.
N'est-ce pas plutôt la dernière ?
L'avenir le dira.
Dit comme ça, ça laisse entendre qu'il y en aura d'autres, sinon, "Voici la phrase" ou "voici une phrase" aurait suffi, non ?En tout cas, ça entretient le suspens.
Vous avez tout compris. C'est une phrase qui laisse la porte ouverte.
Si vous pouviez fermer la porte, on se les gèle !
Je suis obligé de laisser un peu ouvert, c'est pour le chat.
Ainsi pitonnassions.
Tout à fait et à force de pitonner on s'élève un peu... peut-être...
Encore quelques jours et ce sera l'unique de l'année.Mais sait-on jamais…
J'accuse réception de cette première phrase. On attend la deuxième (ou la seconde, je ne sais jamais comment il faut dire).
Ah ! Enfin ! J'attendais votre intervention pour réfléchir à la seconde, deuxième.
Allons y : ne faisons ni une ni deux et enclenchons la troisième.À cette seconde nous n'entendons pas le redire deux fois.
N'est-ce pas plutôt la dernière ?
RépondreSupprimerL'avenir le dira.
SupprimerDit comme ça, ça laisse entendre qu'il y en aura d'autres, sinon, "Voici la phrase" ou "voici une phrase" aurait suffi, non ?
SupprimerEn tout cas, ça entretient le suspens.
Vous avez tout compris. C'est une phrase qui laisse la porte ouverte.
SupprimerSi vous pouviez fermer la porte, on se les gèle !
SupprimerJe suis obligé de laisser un peu ouvert, c'est pour le chat.
SupprimerAinsi pitonnassions.
RépondreSupprimerTout à fait et à force de pitonner on s'élève un peu... peut-être...
SupprimerEncore quelques jours et ce sera l'unique de l'année.
RépondreSupprimerMais sait-on jamais…
J'accuse réception de cette première phrase. On attend la deuxième (ou la seconde, je ne sais jamais comment il faut dire).
RépondreSupprimerAh ! Enfin ! J'attendais votre intervention pour réfléchir à la seconde, deuxième.
SupprimerAllons y : ne faisons ni une ni deux et enclenchons la troisième.
RépondreSupprimerÀ cette seconde nous n'entendons pas le redire deux fois.